Nous partons pour Ōsaka en passant par la gare de Kyōto, qui se trouvait accueillir une compétition de cheerleaders. Enfin peut-être, on ne sait pas, il n'y avait pas vraiment d'information. En tout cas, il y avait beaucoup d'ambiance : chaque fanfare était à fond, les danseuses et danseurs parfaitement précis dans leur gestuelle et nous y avons découvert un sport parallèle : agiter les bras en criant très fort et en rythme. Si si, c'était une performance à part entière.

Encore une fois, nous ne sommes pas loin, seulement 30 minutes de train.
Notre premier passage à Ōsaka se fait en coup de vent. Nous n'accordons qu'une seule journée à la seconde ville du Japon alors il faut prioriser.

Nous commençons par faire un tour au pied du Tsutenkaku (la grande tour en arrière-plan) dans le quartier de Shinsekai (« nouveau monde ») qui semble être bloqué dans les années 80. Ça sent bon le rétro, le kitch et le vintage. Des allées couvertes bordées de commerces tenus par des petits vieux, à l'allée principale bordée de restaurants, aux enseignes géantes en plastique, tout donne légèrement envie de ralentir le pas et mieux regarder.

Nous montons ensuite dans la Ōsaka loop, une ligne de métro circulaire qui nous permet de faire le tour de la ville (voyons ça comme un périphérique en forme de métro aérien). Arrêt suivant : le château d'Ōsaka et son parc.

De retour à l'auberge, nous nous payons un petit apéro avant de ressortir en fin de soirée se promener dans le quartier animé de Dotonburi. Il borde la rivière éponyme et surtout, impossible de rater les lumières et autres façades de restaurants qui attirent le client, au moins pour une photo.

Allez, juste un saut au Pokemon Center et on y va.